Editions : Balland (2010)
Nbre de pages : 380
Présentation:
Trois frères que tout sépare se retrouvent dans la ferme familiale à la mort de leur mère. Tous sont confrontés à un moment de leur vie où ils doivent faire un choix important. Tor, l'aîné, doit se décider: poursuivre son élevage de porcs ou laisser sa fille reprendre la ferme et quitter alors sa vie d'assistante vétérinaire à Oslo. Que va devenir la ferme des Neshov? Arriveront-ils à surmonter leur différence pour recréer des liens familiaux mis à rude épreuve depuis si longtemps ?
Mon avis:
Ce second opus commence là où s'était arrêté le premier. Toute la famille Neshov est encore à la ferme mais Torunn, Erlend et Krumme sont sur le départ. C'est un soulagement pour tout le monde mais Torunn est un peu inquiète de laisser son père seul à la ferme. Va-t-il s'en sortir entre l'entretien de la maison, l'élevage des cochons et le père à s'occuper?
Ce volume commence rapidement, nous connaissons les personnages, il n'y a rien à mettre en place et j'ai tout de suite été dedans.Dès les premières lignes tout m'est revenu en mémoire, j'ai retrouvé mes mes amis.
Nous suivons Erlend et Krumme dans leur vie quotidienne à Copenhague, leur vie de couple, leurs petits tracas.
A Oslo, Torunn doit, en plus de s'inquiéter à distance pour son père, supporter le désespoir de sa mère qui se sépare de son mari après 30 ans de vie commune.
Margido et Tor continuent leurs vies à Trondheim. En accord avec Torunn, Margido fait appel à une aide ménagère pour Tor. A la ferme les choses vont cahin-caha jusqu'au jour où Tor est victime d'un accident. Incapable de s'occuper des cochons et immobilisé il devient encore plus invivable.Torunn, qui a besoin d'une pause dans sa vie, va retourner à Trondheim et seconder son père.
En lisant quelques critiques ici et là, j'ai vu que ce second tome avait été, en général, moins apprécié que le premier. Ce n'est pas mon cas puisque j'ai préféré celui-ci. J'ai eu l'impression de retrouver des amis que j'apprécie et de connaître encore mieux leur vie. Tout le monde se reparle enfin et et ils essaient de tisser à nouveau des liens familiaux.
Les descriptions d'Anne B Ragde sont toujours aussi bonnes et alors que j'ai lu ce livre au soleil je vous assure que j'ai ressenti le froid norvégien !
Nous suivons la vie quotidienne de gens simples, sans rien d'extraordinaire et pourtant c'est impossible de s'arracher à cette lecture.
Ce volume se termine sur un suspens intenable et je n'ai qu'une hâte: ouvrir le dernier volet de cette trilogie !
Les dernières lignes :
"Puis elle entendit les porcs. Ils criaient. Ils ne faisaient jamais ça normalement, pas avant d'entendre s'ouvrir la porte de la porcherie. Elle se précipita.Arrivée devant la porte, elle se rendit compte que leurs cris étaient différents, comme s'ils exprimaient une peur panique toute nouvelle, ils criaient comme des possédés, un choeur de voix porcines. Elle poussa violemment la porte d'entrée, traversa d'un bond la buanderie sans enfiler sa combinaison, ouvrit la porte qui donnait sur les bêtes et alluma les néons."
Trois frères que tout sépare se retrouvent dans la ferme familiale à la mort de leur mère. Tous sont confrontés à un moment de leur vie où ils doivent faire un choix important. Tor, l'aîné, doit se décider: poursuivre son élevage de porcs ou laisser sa fille reprendre la ferme et quitter alors sa vie d'assistante vétérinaire à Oslo. Que va devenir la ferme des Neshov? Arriveront-ils à surmonter leur différence pour recréer des liens familiaux mis à rude épreuve depuis si longtemps ?
Mon avis:
Ce second opus commence là où s'était arrêté le premier. Toute la famille Neshov est encore à la ferme mais Torunn, Erlend et Krumme sont sur le départ. C'est un soulagement pour tout le monde mais Torunn est un peu inquiète de laisser son père seul à la ferme. Va-t-il s'en sortir entre l'entretien de la maison, l'élevage des cochons et le père à s'occuper?
Ce volume commence rapidement, nous connaissons les personnages, il n'y a rien à mettre en place et j'ai tout de suite été dedans.Dès les premières lignes tout m'est revenu en mémoire, j'ai retrouvé mes mes amis.
Nous suivons Erlend et Krumme dans leur vie quotidienne à Copenhague, leur vie de couple, leurs petits tracas.
A Oslo, Torunn doit, en plus de s'inquiéter à distance pour son père, supporter le désespoir de sa mère qui se sépare de son mari après 30 ans de vie commune.
Margido et Tor continuent leurs vies à Trondheim. En accord avec Torunn, Margido fait appel à une aide ménagère pour Tor. A la ferme les choses vont cahin-caha jusqu'au jour où Tor est victime d'un accident. Incapable de s'occuper des cochons et immobilisé il devient encore plus invivable.Torunn, qui a besoin d'une pause dans sa vie, va retourner à Trondheim et seconder son père.
En lisant quelques critiques ici et là, j'ai vu que ce second tome avait été, en général, moins apprécié que le premier. Ce n'est pas mon cas puisque j'ai préféré celui-ci. J'ai eu l'impression de retrouver des amis que j'apprécie et de connaître encore mieux leur vie. Tout le monde se reparle enfin et et ils essaient de tisser à nouveau des liens familiaux.
Les descriptions d'Anne B Ragde sont toujours aussi bonnes et alors que j'ai lu ce livre au soleil je vous assure que j'ai ressenti le froid norvégien !
Nous suivons la vie quotidienne de gens simples, sans rien d'extraordinaire et pourtant c'est impossible de s'arracher à cette lecture.
Ce volume se termine sur un suspens intenable et je n'ai qu'une hâte: ouvrir le dernier volet de cette trilogie !
Les dernières lignes :
"Puis elle entendit les porcs. Ils criaient. Ils ne faisaient jamais ça normalement, pas avant d'entendre s'ouvrir la porte de la porcherie. Elle se précipita.Arrivée devant la porte, elle se rendit compte que leurs cris étaient différents, comme s'ils exprimaient une peur panique toute nouvelle, ils criaient comme des possédés, un choeur de voix porcines. Elle poussa violemment la porte d'entrée, traversa d'un bond la buanderie sans enfiler sa combinaison, ouvrit la porte qui donnait sur les bêtes et alluma les néons."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire